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 Les Histoires d'Hellion

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Hellion[abandon]
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Hellion[abandon]


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MessageSujet: Les Histoires d'Hellion   Les Histoires d'Hellion EmptyVen 3 Nov - 21:55

Hellion 1 : Les liens du sang (Parie 1)


C’est dans des moments comme celui là que je me rappelle les paroles de mon ancienne conseillère, Emma Frost : « Tu ne peux pas continuer à t’attirer des ennuis sous prétexte de réussir ».
Le conseil était judicieux, ses intentions à mon égard n’étaient que pour m’aider à progresser dans la vie, elle voulait m’éviter de devenir ce qu’elle fut pendant longtemps.
Sur le coup je ne l’est pas écouté, je n’en ai fait qu’à ma tête et j’avais mis mon équipe dans une belle panade par la suite.
Qu’en est il quelques mois plus tard, après avoir écouté l’Institut ?
Regardez par vous-même.

Julian Keller est un mutant télékinésiste au vaste potentiel qui avait été formé à l’Institut Charles Xavier pour Jeunes Surdoués, une école pour mutants située dans le Wechester. Il avait appris à utiliser ses pouvoirs, à les développer, à être un leader d’équipe hors pair, au sens stratégique plus qu’élevé pour son âge, bref il avait été, de ce côté-là, un élève plus que brillant considéré comme l’un des meilleurs de sa génération. Mais toutes choses avaient une fin et il faisait aujourd’hui sa vie, et sa vie…c’était d’être encerclé par une cohortes d’hommes armés de tous poils.
La question était : comment avait il pu, encore une fois, se retrouver dans une telle situation.
Pour cela il fallait faire un bref retour en arrière, à l’instant où, prélassé sur un transat sur une plage de Floride, son portable se mit à sonner.

Cela faisait près d’une semaine que je le jeune mutant avait posé ses valises à Miami, bien décidé à profiter du soleil, des plages et des jolies filles qui couraient les rues.
Un seul mot d’ordre : ne rien faire, se laisser vivre et profiter de chaque seconde passée dans cet endroit paradisiaque en gaspillant tout l’argent que les parents ont durement gagnés.
Activité dure et fatigante en soit même mais dont il mettait un point d’honneur à s’acquitter avec bravoure et efficacité.
En ce bel après-midi torride où la chaleur état montée à la limite du supportable sonna donc un portable jamais très loin du mutant.
Allongé, à moitié assoupis sous ses lunettes de soleil il chercha à tâtons l’appareil qui devait se trouver quelque part dans son sac à dos déposé aux pieds de son pliant.
Il s’attendait à l’appel de l’une de ces filles rencontré hier soir, il avait tapé dans l’œil de plusieurs d’entre elles et il ne faisait aucun doute qu’elle mourrait toutes d’envies de le revoir, enfin c’est ce que l’esprit, toujours en activité, de Julian lui suggérait.
Mais le nom qui s’affichait sur l’écran de son clapet était loin d’être féminin et aussi loin d’être inconnu.
Il hésita un peu d’ouvrir et de prendre l’appel, mais il ne se défila pas.
-Oui James? Dit il en prenant l’air le plus détaché possible.
C’était la première fois que James prenait de ses nouvelles en l’espace de six mois, un bail pour deux frères qui par le passé étaient très proches l’un de l’autre.
Mais les choses avaient évolués. Julian avait découvert sa mutation, ses parents ne mirent plus son frère aîné et lui au même niveau. Le cadet était devenu le vilain petit canard qu’il fallait évité de sortir en public sous peine qu’il humilie le nom de la famille pour lequel ils avaient mis tant d’énergie à faire monter dans les hautes sphères de la bourgeoisie Californienne.
L’aîné était devenu l’exemple à suivre, il n’était pas mutant et cela suffisait amplement à leurs parents. Il dirigeait maintenant les affaires des Keller à New York et était le seul et unique héritier des affaires et de la fortune de leurs parents. Une injustice que Julian tentait de combattre depuis plusieurs mois déjà, même si il n’hésitait pas à prendre l’argent que ses parents lui versait régulièrement, ils n’étaient tout de même pas entièrement insensibles, ou plutôt ils ne voulaient pas que Julian lance dans les médias que l’une des familles les plus riches de la Côte Ouest avait un enfant mutant qu’ils laissaient sans le sous.
La voix de son frère, à l’autre bout du combiné, était tremblotante et mal assurée.
« Petit frère, j’ai besoin de toi. »

Deux jours plus tard Julian débarqua donc à New York avec pour seules affaires les vêtements qu’il portait sur lui. Voyager léger était bien plus marrant que se balader avec des gros sacs et c’était surtout plus pratique pour aborder les filles, comme cette jeune étudiante allemande qui avait été placée à ses côtés dans l’avion. Si l’allemand n’était pas sa tasse de thé, d’un simple regard avec le sourire approprié il pouvait établir le contact avec n’importe qui, il avait ça dans le sang.
Debout au milieu du hall de débarquement il regardait le numéro de téléphone écris sur un petit morceau de papier. Un petit rictus traversa son visage avant qu’il ne froisse le papier et le jette dans une poubelle avant de se diriger vers une des sorties.
Il était habillé d’un jean aux pattes assez larges pour recouvrir ses épaisses chaussures, une chemise noir aux manches repliés et aux deux premiers boutons ouverts.
Dès que les premiers rayons du soleil touchèrent la peau de son visage il mit une paire de lunette de soleil, scrutant le paysage pour découvrir la personne qui devait venir le récupérer.
Assis contre le capot d’une voiture de grand luxe italienne, un jeune homme, aux cheveux noirs mi longs, portant un costume italien de grande marque, le fixait et lui fit un petit signe de la main. N’importe qui aurait pu voir le lien de parenté entre lui et Julian tellement ils se ressemblaient, c’était bien James, son frère aîné.
Le jeune mutant s’approcha de lui et balança son sac à l’arrière de la voiture sans rien demander à personne, avant de se planter à quelques mètres de l’homme qui se redressa pour le regarder en face.
-Ca fait du bien de te voir Julian. Lança James en s’approchant de son frère, les bras ouverts pour le serrer, mais il se heurta à un refus exprimé par un Julian qui sauta par-dessus la portière de la voiture pour s’installer à la place du passager.

La voiture roulait à vive allure sur la voie rapide, le décor se reflétait sur les lunettes de Julian qui n’avait pas accordé un regard à son frère.
-Bon, qu’est ce qui se passe James ? Lâcha il sans daigner se tourner vers lui.
-C’est dur à dire…
-Accouche j’ai pas ma vie devant moi. Le coupa Julian avant que le grand frère se lance dans des explications interminables dont il n’avait absolument rien à faire.
-J’ai perdu notre société de New York.
Cette fois-ci il réussit à capter l’attention du jeune mutant qui se tourna vers lui et fit descendre ses lunettes sur son nez pour regarder son imbécile de frère.
-Déjà, c’est votre société, je suis mis au banc de cette famille, et…comment tu as fait cela ? Lui demanda il exaspéré.
C’était vrai qu’il n’avait plus aucun droit dans les affaires de la famille Keller mais il n’avait pas abandonné l’idée de reprendre à ses parents ce qu’ils lui avaient injustement pris.
James lui expliqua sa rencontre avec une jeune femme du nom de Candice un soir, dans un bar. Comment elle l’avait charmée, comment elle s’y était prise pour lui faire signer des papiers qui étaient en fait un acte de cession d’entreprise.
-Pauvre crétin, ce n’est même pas contestable en plus, qu’est ce que tu veux faire maintenant ?
-Et bien je comptais sur toi….
-Ouais bien sur, et comment ?
-Pour l’instant les papiers n’ont pas été transmis aux avocats, je sais qu’elle les garde dans un coffre, chez elle, tu pourrais sûrement utiliser des…trucs de mutants pour les récupérer non ?
-Rêve, je vais pas faire un truc totalement débile et illégal pour toi. Lui répondit sèchement Julian. Mais il savait aussi qu’il devait récupérer cette entreprise, pour son avenir. Il prit le temps de réfléchir quelques minutes avant qu’une idée ne germe dans son esprit.
-Je vais avoir besoin d’une description de ta Candice et connaître quelques unes de ses petites habitudes…ensuite je m’occupe du reste.
-Que comptes tu faire ? Lui demanda James alors qu’un sourire apparaissait sur son visage, soulagé que son frère accepte de l’aider.
-Je vais me contenter de laisser agir mon charme naturel.
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MessageSujet: Re: Les Histoires d'Hellion   Les Histoires d'Hellion EmptyVen 3 Nov - 21:57

Hellion 1 : Liens du sang (Partie 2)


Le videur y regarda à plusieurs fois mais le jeune homme sur la carte d’identité était bien celui qui se tenait devant lui et qui disait avoir 21 ans. Pourtant il faisait plus jeune se disait il. Qu’importe, il avait le droit d’entrer et il n’allait tout de même refuser un client si il rassemblait tous les critères, simplement sur une intuition.
Julian récupéra sa carte, l’enfoui dans la poche de son pantalon et passa la porte de la boite de nuit où, d’après son frère, traînait souvent la dénommée Candice, celle qui s’était bien payé la tête de l’aîné des Keller.
Tout de noir habillé il se fondait parfaitement dans le décor et passait presque inaperçu, presque car bon nombre de femmes se retournaient sur son passage. Une sensation qu’il adorait et l’électrisait car il se délectait être le centre des attentions. Mais ce soir, pas question de s’amuser, il devait trouver une personne en particulier et ce ne serait pas une tâche aisée au milieu de tout se monde qui se bousculait pour aller d’un point à l’autre de l’endroit où régnait une moiteur dérangeante.
La première chose à faire était de trouver un point de vue dégagé d’où il pourrait observer toute la salle. Le second étage, qui surplombait la piste de danse, semblait être l’endroit parfait.
Tant bien que mal Julian gagna l’étage et s’installa à la table la plus proche de la rambarde donnant plein feu sur les danseurs et ceux qui étaient au bar.
Malgré la description faite par James, et la photo de Candice qu’il lui avait montré, il était dur de repérer quelqu’un dans cette foule, surtout si il n’était pas sur du tout que cette personne soit présente ce soir.
Pour ne pas paraître suspect à reluquer toutes les jeunes femmes sans vergogne, il commanda une consommation et bougeait fébrilement sur sa chaise sur le bruit qui était censé symboliser de la musique.
Il avait beau les passer en revue, une par une, pas moyen d’en trouver une qui ressemble de près ou de loin à la description faite. De plus elles bougeaient sans arrêt et il avait la désagréable impression de tourner en rond.
-Hello.
Dans le brouhaha ambiant une voix cristalline vint à ses oreilles. Il se tourna lentement de sa cible pour découvrir une jeune femme qui s’était attablée à ses côtés et qui le fixait de ses yeux bleus intenses. Il plongea son regard dans le sien en prenant garde à ne pas dévier vers le décolleté et, pour une fois, fut incapable de dire un mot.
Elle était d’une beauté saisissante, le teint mat, de longs cheveux blonds ondulés, les pommettes hautes et des lèvres invitant à les embrasser. Julian était sous le charme mais surtout il savait qui elle était, Candice.
Elle était encore plus belle de visu que sur la photo et le jeune mutant commençait à comprendre pourquoi son frère s’était laissé embobiné.
-Salut. Réussit il enfin à prononcer après quelques secondes de fixation béate assez inhabituel chez lui.
Elle lui sourit et prit le verre que Julian n’avait même pas pris la peine de toucher pour le porter à ses lèvres avant de le reposer devant lui.
-Je suis Candice et tu es ? Lui dit elle d’une voix lente et suave, ou chaque son semblait sortir de la bouche d’un ange.
Mais Julian s’était déjà ressaisi et il savait pertinemment qui il avait en face de lui. Derrière cette allure de belle jeune femme souriante se cachait celle qui avait poussée son frère à perdre une partie de l’empire familiale et donc une partie de son héritage. Car il comptait bien récupérer ce qui lui revenait de droit.
-Julian Kincaid, enchanté. Candice ? C’est un magnifique prénom. Répondit il en lui tendant la main, pensant au contraire qu’il y avait rien de plus ridicule et de plus superficiel que ce prénom. Mais il était plutôt fier de lui en repensant à son idée d’utiliser comme nom de couverture celui de sa meilleure amie, Cessily Kincaid, ça le faisait sourire intérieurement.
Et grâce à cela, et à quelques connaissances du temps de l’Institut Xavier, il avait pu se forger une nouvelle identité pour ne pas être immédiatement démasqué par la mante religieuse qui croisait les jambes en face de lui.
-C’est la première fois que je te vois ici Julian, tu es de passage à New-York ? Lui demanda elle en se rapprochant un peu de lui, faisant glisser sa chaise de quelques centimètres dans sa direction pour contourner la petite table ronde qu’il y avait entre eux deux.
Le mutant sentait, lui, la chaleur monter d’un cran et il devait se concentrer au maximum pour ne pas faire un faux pas ou ne pas se laisser tenter.
-J’arrive directement de Portland pour reprendre les affaires que mes parents ont dans cette ville, et on m’a conseillé cet endroit pour me changer un peu les idées.
Il savait très bien que ce que la jeune femme avait retenue de cette phrase était l’allusion faite aux affaires de ses parents.
-Seriez vous un jeune loup de la finance monsieur Kincaid ? Lança moqueusement la jeune femme.
-J’essaye simplement de gérer et de faire fructifier le pactole que l’on m’a confié…on a pas souvent la possibilité de s’amuser avec quelques millions de dollars tu sais.
Le mensonge et le risque étaient gros mais il savait qu’elle avait déjà mordue à l’hameçon et jetait son dévolue sur lui.
-Des millions ? Tu m’en diras tant. Je vais me chercher quelque chose à boire, je reviens….Julian. Dit elle en se levant lentement tout en continuant de le fixer avant de se retourner et de rouler du postérieur pour se diriger vers le bar de l’étage. Julian en profita pour desserrer encore un peu son col, sentant la chaleur afflué assez rapidement.


Jusque là tout se passait bien, elle lui faisait confiance, ou plutôt elle faisait confiance aux informations qu’elle a eues en retour et qui lui confirmaient qu’il était bien un petit gosse de riche trop gâté qui joue avec l’argent de ses parents.

-Tu me suis ? On sera plus à l’aise dans la pièce au fond. Lança langoureusement la voix de Candice alors qu’elle approchait doucement ses lèvres pulpeuses de l’oreille du jeune mutant qui eu un frisson. Il se leva sans dire un mot et la suivit.
Mais c’est alors qu’il vit quelqu’un qu’il n’aurait pas cru rencontrer ici. Accoudée au bar, jouant avec le verre qu’elle avait dans la main, il reconnut immédiatement Katherine Pryde qu’il avait côtoyé à l’Institut Charles Xavier, et bien sur elle le reconnut en le voyant passer, tiré par la main par une véritable beauté. Elle resta bouche bée devant le spectacle et le suivit du regard alors que lui essayait de l’ignorer en regardant partout sauf vers elle.
Qu’est ce qu’elle pouvait bien faire ici, c’était pas possible, le mauvais sort le poursuivait ou quoi ?
Pour l’instant il décida de faire abstraction de cette rencontre pour se concentrer sur la jeune femme qu’il devait berner pour regagner l’argent familial perdu par son imbécile de frère.
Elle le fit entrer dans une pièce un peu à l’écart du reste, où ils purent se retrouver seuls. Elle lui montra un divan ou prendre place tandis qu’elle alla chercher deux flûtes à champagne et une bouteille.
Il se laissa faire en affichant un air détendu de façade qui masquait le stress qui montait en lui au fur et à mesure, stress résultant autant de la belle jeune femme qui lui faisait son petit effet que de la situation qu’il devait gérer.
Elle vint s’asseoir à ses côtés, voir se coller contre lui et lui tendu une des flûtes qu’elle avait préalablement remplie.
-A notre rencontre. Dit elle en portant un toast auquel il répondu avant d’avaler d’une gorgée le contenu du verre, autant pour faire passer le goût du champagne que pour passer directement à la prochaine partie du plan qui était de faire avouer à la jeune femme ce qu’elle avait fait du contrat, tout en discrétion bien sur.
Mais sitôt le verre reposé sur une table basse devant le canapé il se sentit bizarre, la tête commençait à lui tourner, les idées devenaient confuses.
-On devrait peut être ouvrir ? Dit il en se levant, titubant légèrement alors que ses yeux lui jouaient des tours.
-Ca ne servira rien, dans une minute tu seras plongé dans le monde des rêves mon cher petit mutant, on dirait bien que tu as du mal à tenir l’alcool. Lui dit elle en se levant à son tour pour rester dans le sillage de Julian qui captait les mots avec douleur, comme des échos dans son cerveau malade.
-Quoi ? Que m’as tu fais ?
-Hoo, pas grand chose, seulement un peut drogué pour que tu sois plus coopératif mon petit Julian…Keller.
-Comment tu sais…
Mais il n’arrivait pas à finir sa phrase et tomba à genoux, n’arrivant plus du tout à se mouvoir tellement il sentait tout tourner autour de lui alors que la drogue s’insinuait rapidement dans son organisme.
-Je vais te révéler un secret…ton frère n’a pas réellement perdu l’entreprise familiale, il n’est pas si bête que ça. Il avait seulement besoin d’une excuse pour t’amener jusqu’à moi et toucher une coquette somme.
-Mais…qu’est ce que tu dis ? Pourquoi faire ?
Sa bouche était pâteuse, il avait du mal à articuler. Avant d’avoir des réponses sa priorité était de fuir avant de ne plus en être capable du tout. Mais il arrivait à peine à se concentrer et sans un minimum de lucidité sa télékinésie était totalement inutilisable.
Candice le regardait de toute sa hauteur, un petit sourire satisfait sur le visage, contente d’avoir mis à terre le jeune mutant. Mais le sourire s’effaça quand un doigt vint lui tapoter l’épaule, elle se retourna et découvrit une jeune femme derrière elle. Celle-ci ne lui laissa pas le temps de réagir et lui asséna un terrible coup de poing qui la fit voltiger dans la pièce.
-Mademoi…selle…Pryde. Articula très difficilement Julian en découvrant Katherine Pryde qui se précipita vers lui pour le soutenir par l’épaule.
-Dans quelle galère tu t’es encore fourré Hellion. Lui dit elle en faisant passer le bras du mutant derrière sa nuque pour pouvoir l’aider à marcher.
Mais Candice n’était pas vraiment K.O et elle appuya sur un bouton situé sur le mur, immédiatement une sirène se mit en marche et des hommes armés firent leur entrée dans le bureau et entourèrent les deux mutants qui se retrouvaient pris au piège.
-Phas…er… Lâcha Julian dans un souffle, sentant qu’il perdait pied de plus en plus.
-Désolé, ils bloquent nos pouvoirs, ont pris au piège…
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